L’Initiative pour l’inclusion sociale des personnes aînées : un enjeu collectif a lancé la campagne de sensibilisation Présent.e.s afin de mettre de l’avant l’importance des relations intergénérationnelles dans la lutte contre l’âgisme.
Plusieurs études concluent à l’importance des relations intergénérationnelles pour lutter contre l’âgisme et favoriser l’inclusion sociale des personnes aînées. C’est dans cette optique que la campagne Présent.e.s propose une série de quatre courts documentaires et un microsite informatif qui illustrent la richesse des rencontres entre les générations qui se déroulent sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Québec (CMQ).
Les documentaires ont été réalisés par l’artiste documentariste d’origine russo-algérienne Elias Djemil-Matassov. L’Initiative pour l’inclusion sociale des personnes aînées : un enjeu collectif espère que ces vidéos inspireront les jeunes et les personnes aînées à se rencontrer, quels que soient leurs intérêts, afin de créer des liens entre les générations et briser les préjugés.
L’importance des relations intergénérationnelles
Les personnes aînées ont une contribution à apporter dans toutes les sphères de nos vies (vie communautaire, culture, travail, politique, loisir, etc.). Favoriser la présence de relations intergénérationnelles est l’une des meilleures façons de mettre à profit tout leur potentiel. Pourtant, bien que mutuellement bénéfiques pour chaque génération, l’importance de ces relations est souvent négligée. La campagne Présent.e.s vise à sensibiliser la population à ce sujet, mais aussi à modifier les perceptions et les représentations du vieillissement.
À propos de l’Initiative
L’Initiative pour l’inclusion sociale des personnes aînées : un enjeu collectif est un projet intersectoriel et interdisciplinaire d’une durée de 5 ans, soutenu par l’Institut sur le vieillissement et la participation sociale des aînés (IVPSA) de l’Université Laval. Le projet est financé grâce à une contribution du Programme Nouveaux Horizons pour les aînés (PNHA) d’Emploi et Développement social Canada (EDSC) et de la Chaire de recherche sur le vieillissement de l’Université Laval.